Les 7 péchés capitaux

Du haut de mon donjon, face à des montagnes qui veulent percer le ciel, je réfléchis.

J’ai toujours réfléchi, trop. Je ne sais si cela m’a servi, mais c’est ainsi !

Nina, m’a parlé de Jérôme Bosch et de ses œuvres, la plupart exposées au Musée du PRADO, dont LES 7 PECHES CAPITAUX ;

Thomas d'Aquin (né en 1224/1225, en Italie du Sud, mort le 7 mars 1274  est un religieux de l'ordre dominicain, célèbre pour son œuvre théologique et philosophique.

Les sept péchés capitaux identifiés par Thomas d'Aquin sont l’acédie (ou la paresse spirituelle), l’orgueil, la gourmandise, la luxure, l’avarice, la colère et l’envie.

Ce sont des péchés pour la « religion », en fait ce sont des traits de caractère qui apparaissent pendant notre Vie. Nous naissons tous égaux ! (J’espère que vous en êtes d’accord), c’est au fur et à mesure que nous avançons dans la vie, que nous commençons à comprendre le « monde », que les changements s’opèrent.

En  toute qualité ou défaut portés à l’extrême sont des « petites tares » parfois difficiles à porter, et je crois qu’il n’est pas facile parfois, de s’en défaire.

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Je vais ajouter un lien concernant ce sujet. C’est une émission de FRANCE INTER.

http://www.franceinter.fr/emission-la-tete-au-carre-les-7-peches-capitaux-des-psychopathologies

L’émission du mercredi 15 janvier 2014

Les 7 péchés capitaux , des psychopathologies ?

    Disponible jusqu’au 10/10/2016 15h00

Les 7 péchés capitaux listés dans « La Somme théologique » de St Thomas D’Aquin ne sont que des mauvaises pensées ou des vices, selon l'Eglise catholique, mais pour la psychiatrie ce sont  de vraies psychopathologies.  

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J’ajoute ce lien, concernant ce sujet. Il s’agit d’une pièce de théâtre.

http://lewebpedagogique.com/asphodele/2011/10/09/

« Il a fallu huit ans à Rafael Spregelburd pour mener à bien son Heptalogie, une oeuvre théâtrale unique en son genre : sept pièces construites en référence au tableau de Jérôme Bosch, Les Sept Péchés capitaux, exposé à Madrid au musée du Prado. Admiré pour sa composition et la diversité de ses possibles interprétations, ce tableau est l’allégorie d’un monde qui se lézarde, d\’un ordre médiéval qui se fracture ».

« Questionnement sur le fascisme et la démocratie, sur l’utopie d’une langue universelle qui pourrait aussi devenir un langage totalitaire, L’Entêtement est également un défi de théâtre. Chacun de ses actes débute le même jour, à la même heure, mais dans un lieu différent de la maison. Une structure qui permet de raconter la même histoire, mais jamais de la même façon, provoquant des remises en question successives sur la réalité des événements auxquels assiste le spectateur. Comme il pourrait le ressentir à la lecture d’un roman policier, où pistes et fausses pistes créent une tension étonnante

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Bosh 7 péchés capitaux